Paris, we love you — Edouard & Romie

— Je préviens au besoin.

Mais prévenir de quoi ? C'est juste parfait et j'en profite comme jamais. Ça fait du bien, ça apaise, et oui, j'avoue, ça me détends quant à mon repas de merde de ce midi.

Au bout de plusieurs minutes, je l'appelle en couinant pour qu'elle puisse s'arrêter. Elle était morte de fatigue et elle a quand même pris la peine de me masser. Mon chat d'amour.

— Tu es une merveille. J'ai énormément de chance de t'avoir.

Je me penche pour déposer un baiser sur sa nuque.

— Pas plus que moi.

Je retire mon pull à nouveau et je me glisse entre ses bras pour avoir un câlin. Je suis vraiment KO, je ne sais pas comment je vais me réveiller demain.

— T’as besoin d’autres choses, mon amour ?

Je demande en somnolant déjà.

— De toi.

Je grogne en la faisant presque monter sur moi pour qu'elle soit la plus proche possible de moi. Je peux au moins promettre qu'elle aura chaud.

— Et d'un dernier bisou, pour faire des beaux rêves.

J'arrive à rire en l'embrassant tendrement.