— Ok.
J’embrasse ses lèvres.
— De toute façon, c’est moi ta femme. C’est moi qui peut te rendre heureux et te combler. Elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait, je saurais mieux le faire parce que je te connais et je t’aime. Voilà. Et ta secrétaire là, si elle croit qu’elle va continuer d’appeler à 22 heures pour rien, elle m’a pas vu énervée celle-là aussi. Voilà.
Parce que je vois bien son nom s’afficher et comme on parle de ça, autant lui dire.
— J’ai confiance en toi et en moi et tout, mais elle m’énerve à parader comme un paon. À rigoler à toutes tes phrases là.